Le monde ne peut pas progresser sans enthousiasme. Celui-ci est l’étincelle qui met en marche toute action et incite à toujours poursuivre ce qui a été entamé. Plus l’enthousiasme est grand et plus la motivation augmente, l’être humain se sent alors poussé des ailes, imaginant qu’il peut tout entreprendre car il sent circuler en lui-même une force optimiste et à toute épreuve. Dès lors, on peut dire que l’enthousiasme agit tel un carburant qui voyage librement dans le corps et l’esprit d’un individu : plus rien ne peut alors empêcher celui-ci de se lancer dans une activité, quel qu’en soit le résultat.

Si l’enthousiasme est présent en chacun d’entre nous, il arrive bien souvent qu’il s’épuise avant d’avoir germé. L’existence devient alors bien pénible si chaque seconde passée sur Terre est baignée dans l’ennui, le désespoir, la jalousie,… Ainsi, il arrive régulièrement que les gens dépourvus d’enthousiasme se sentent encore plus démoralisés lorsqu’ils côtoient des individus bourrés d’énergie, de motivation et d’optimisme. En se confrontant à ces derniers, ils s’aperçoivent avec tristesse qu’ils sont loin d’être heureux et en paix avec eux-mêmes. La déprime leur pend alors au nez. Dès lors, ils se posent un tas de questions auxquelles ils pensent ne pas trouver de réponses : « Où vais-je ? », « Est-ce que la vie en vaut la peine ? », « Comment être heureux ? », etc. Pourtant, il existe des solutions qui peuvent faire renaître l’enthousiasme et la motivation : apprendre à libérer son corps et son esprit afin d’améliorer la relation avec soi-même ainsi qu’avec autrui, prendre conscience de ses potentialités et les exploiter, trouver des solutions là où les autres voient des problèmes, ne pas se comparer à autrui mais vivre pleinement son existence en étant le seul maître de son destin, etc.

L’enthousiasme est comme l’air que l’on respire, on se rend compte qu’il est indispensable pour vivre dès lors qu’on en est dépourvu. Alors ne mourrons pas d’asphyxie et profitons pleinement de notre existence avec joie de vivre et enthousiasme !

« L’homme meurt une première fois à l’âge où il perd l’enthousiasme. »

Honoré de Balzac, écrivain français (20 mai 1799 – 18 août 1850)